Regardez le concert « One 2 One » de Bon Iver à une personne par la Blogothèque

Le concert très (très) privé de Bon Iver filmé par la Blogothèque ! On attend ça avec Jimmy Whispers ou Ty Segall…

Demander à une personne, choisie parmi la foule d’un festival, de faire une totale confiance à l’équipe de la Blogothèque, lui bander les yeux, et la conduire vers une pièce secrète sans rien lui dire de ce qui l’attend. Une fois sur place, l’asseoir sur une chaise, ôter son bandeau, et la laisser seule face à un artiste qui va jouer plusieurs morceaux pour elle seule. Filmer cela en toute discrétion. Ce sont les One 2 One, la nouvelle série vidéo de la Blogothèque !

Regarder le nouveau clip « Wallowa Lake Monster » de Sufjan Stevens

Aujourd’hui tu peux ajouter 7 nouvelles minutes de Sufjan Stevens dans ta vie, alors saisis ta chance !

Le chouchou prodige de la folk Sufjan Stevens a partagé « Wallowa Lake Monster », extrait de « The Greatest Gift Mixtape » qui paraîtra fin novembre. Mixtape qui révèlera des démos, morceaux coupés et remixes de l’album « Carrie & Lowell » paru en 2015.

« Wallowa Lake Monster » extrait de la mixtape « The Greatest Gift Mixtape » de Sufjan Stevens prévu le 24 novembre (pré-commander ici).

Regarder le nouveau clip « Country » de Porches

Porches dévoile le clip de son nouveau titre « Country » et putain que c’est beau !

Porches, le projet d’Aaron Maine a commencé en 2010, avec un mélange de bricolage rock et folk. En 2016, quand il a sorti « Pool », sa production avait atteint une sophistication impressionnante. Mais maintenant, il se détourne peut-être du genre de touche électronique de ce disque: «Country», sa nouvelle chanson, la première d’un nouvel album à venir.

(TERMINÉ) Concours : 4 places à gagner pour le concert Low Roar +Malik Djoudi à l’Iboat (Bordeaux)

Mercredi 25 octobre, Malik Djoudi est en concert avec les islandais de Low Roar à l’Iboat.

LOW ROAR
Après avoir dissous son très indie-rock Audrye Sessions, Ryan Karazija quitte sa chaude Californie pour rejoindre les terres de glace islandaises et former la très intime formation Low Roar. Et on peut dire qu’il y a trouvé l’inspiration car, avec son premier LP du même nom, Ryan nous emmène pour une odyssée onirique à travers lacs glaciaires, fjords et autres plages de sable noir. Son timbre de voix lancinant, à la croisée d’un Ry X et d’un Thom Yorke (période «Kid A»), se dépose comme un doux flocon sur des nappes de musique ambient/post-rock minimaliste. Refrains langoureux, arrangements de cordes envoûtants, mélodies electro-folk,… Ryan a définitivement trouvé son terrain de jeu!

MALIK DJOUDI
Si tu veux connaitre Malik Djoudi mieux qu’en lisant sa bio, file ici lire le  » Mais t »es qui toi ? «  qui lui est consacré, sinon tu peux lire la suite. Un romantisme de dandy pas trop sûr de lui, qui convoque Christophe, Sébastien Tellier et William Sheller, une voix qui flotte dans les airs tout près de Connan Mockasin, une sourde intensité mélodique qui trouble à la manière de Blonde Redhead, une intimité dont James Blake a retrouvé le secret… Et des mots en français qu’il manie avec grâce et candeur, sur une trame électro pop toute aussi épurée.
« Tu sais, j’ai peur de rien, à part du vide, qu’il anime mes lendemains ». Non, Malik Djoudi n’a peur de rien et son premier album vient combler un vide dans le paysage français.

 

Et je t’offre 4 places (2×2 places) pour ce concert:

1) Liker la page facebook ANANA SOUND

2) Répondre à la question suivante et envoyer votre réponse par mail à l’adresse ananasound@gmail.com en mentionnant bien vos nom et prénom avec pour objet « concours Low Roar + Malik Djoudi ».

De quelle ville est originaire Malik Djoudi ?

Bonne chance !

Toutes les infos pratiques de la soirée dans l’event facebook.

MAIS, T’ES QUI TOI? #10 Malik Djoudi

« Tu sais, j’ai peur de rien, à part du vide, qu’il anime mes lendemains ». Non, Malik Djoudi n’a peur de rien et son premier album vient combler un vide dans le paysage français. Un romantisme de dandy pas trop sûr de lui, qui convoque Christophe, Sébastien Tellier et William Sheller, une voix qui flotte dans les airs tout près de Connan Mockasin, une sourde intensité mélodique qui trouble à la manière de Blonde Redhead, une intimité dont James Blake a retrouvé le secret… Et des mots en français qu’il manie avec grâce et candeur, sur une trame électro pop toute aussi épurée.

Ni vraiment musique de club, ni simplement variété française, Malik Djoudi trace une chanson électronique qui réconcilie pop synthétique des années 80 et histoires d’opérations à cœur ouvert. Grand ouvert, quand un amoureux transi demande à une jolie fille de lui laisser « le temps d’apprendre tous les codes chics pour faire l’Américain », ou qu’il frime en Cadillac à Saint-Malo pour se donner de la contenance. Très grand ouvert quand il avoue « se surprendre à pleurer au cinéma ». Trop grand ouvert quand il doit affronter l’avancée du temps, la complexité des relations amoureuses…

Si Malik Djoudi a attendu ses 37 ans pour cette déclaration et le grand saut en français dans le texte, le Poitevin n’en est pas à son coup d’essai. Musicien autodidacte, il côtoie Klaus Blasquiz (Magma) pour des cours de chant à l’Atla (Ecole des Musiques Actuelles). Depuis sa ville de Poitiers, il composera pour la télévision, la publicité et le cinéma. En tant que qu’auteur, compositeur et chanteur en anglais, il conduira plusieurs groupes pop-rock comme Moon Pallas, Alan Cock et Kim Tim. Avec eux, il a aussi mis en musique plusieurs pièces de Pierre Rigal, dont l’opéra-rock « Micro », ainsi que des créations de la chorégraphe Sabine Molenaar.

À travers les huit chansons de « UN », Malik Djoudi réalise une entrée sidérante dans le club de la pop tricolore, imposant une touche française qui n’appartient qu’à lui : élégante et vibrante, impressionnante et fragile. Moderne dans sa conception, fidèle aux instrumentations classiques, la pop charnelle de Malik Djoudi fait pleurer les machines en parlant de nos vies et de nos doutes, tout en rêvant d’Amérique et de grand amour. Les paradis perdus existent et n’ont rien d’artificiel. Malik Djoudi les a trouvés avec amour et sans violence, car il n’a peur de rien. À lui les beaux lendemains.

 

Un EP qui m’a foutrement bouleversé aux moments de mes premières écoutes en février dernier juste avant de le découvrir sur scène pour les Auditions des Inouïs du Printemps de Bourges et qui m’a donné envie de vous présenter plus en profondeur Malik Djoudi.

Nom complet: Malik Djoudi
Rôle dans le groupe: Auteur/compositeur/interprète/produecteur
Date de naissance:08/04/1979
Lieu de naissance: Poitiers
Taille: 1m83
Couleur des yeux: Marron
Couleur des cheveux: Auburn
Frères, sœurs: 6
Instruments joués: Guitare, clavier, voix
Formation scolaire: Bac L
Âge du premier concert: 14 ans
Passes-temps: Mon métier
Chanteurs favoris: Michael, Bob, Serge, Kendrick
Acteurs favoris: Niels Arestrup, Denis Lavant, Sean Penn
Actrices favorites: Yolande Moreau, Romy Schneider
Nourritures préférées: Asiatique et orientale
Boissons préférées: Vin rouge, mais aussi thym/miel
Vêtements préférées: Les miens 😉
Fruits préférés (mis à part l’ananas évidemment): Mangue, fruits de la passion
Groupe préféré: Blonde Redhead, Connan Mockasin…
Musicien préféré: Todd Trainer
Tu aimes: Le calme et la tempête
Tu n’aimes pas: L’injustice
Goût musicaux: Mélodiques et audibles
Ambitions personnelles: Être présent
Ambitions professionnelles: Ne pas me perdre.

 

Le premier album « UN » de Malik Djoudi est maintenant disponible sur le label Cinq7 (commander ici).